Georges Tron

GEORGES TRON: QUEL PIED !

Après lecture de Liberation ce matin:

Le secrétaire d'état à la fonction publique, G.Tron, est la cible d'une plainte pour harcèlement sexuel, de la part de deux anciennes employées municipales de la mairie de Draveil.

Que lui est il reproché ?
Nous voulons le savoir, au même titre que l'affaire de l'ADN de DSK trouvé sur le lavabo, la moquette et le chemisier de la dame.
Il en a mis partout le bougre !
Revenons donc à notre G.Tron et que lui reproche les ex-employées ?



On croit rêver ! Un patron qui vous "caresse les pieds en toutes circonstances" alors qu'en général il vous casse les pieds en toutes circonstances.

Imaginons une employée de la mairie qui arriverait le matin, déjà fatiguée d'avoir réveillé bébé, l'avoir amené chez la nounou non sans avoir préparé le repas du soir et fait un peu de ménage.
Là, elle arrive au bureau, s'assoit pour soulager ses petits pieds martyrisés par des escarpins trop serrés, et voilà qu'entre en scène....le boss.
Costume- cravate, cheveux grisonnants départagés par une belle raie, pas trop moche et, de plus très gentil.
- Oh ! la ! la ! ma pauvre petite, vous voilà bien mal en point de bon matin, je vais vous arranger ça.
Et voilà le chef qui plonge sous le bureau, ôte délicatement les brides des jolies chaussures vernies, et se met en demeure de masser doucement chaque doigt de pied.
Quelquefois le patron pratique la reflexologie, et "appuie un peu les massages" Il frotte son poing sur la plante des pieds jusqu'à ce que la secrétaire soit en état de grande satisfaction et sera prête pour attaquer sa journée en pleine forme.

Oserais-je écrire que ça fait rêver ? en tout bien tout honneur évidemment, et sans monter au-delà des chevilles.

http://www.liberation.fr/politiques/01012339496-une-plainte-pour-harcelement-sexuel-deposee-contre-georges-tron

Aux dernières nouvelles l'affaire se corse, et on n'a pas fini de rigoler.

Pendant ce temps.....
Ca fuit toujours à Fukushima, le fada de Nantes court toujours, pas de nouvelles du tueur de la joggeuse ni des jumelles suisses, et les collégiens se font tabasser à tire-larigot.
Et toujours pas de nouvelles des otages d'Afghanistan.




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